Le premier pas vers un plâtre parfait est d’éviter la tentation de le faire soi-même. Il s’agit d’un métier hautement qualifié, avec ses propres outils, échafaudages et techniques. Un mauvais travail peut coûter plus cher à réparer que d’engager un professionnel dès le départ.

Les meilleurs plâtriers vous seront recommandés par vos amis, votre famille, vos voisins ou d’autres clients. Recherchez des entreprises de plâtrage ayant de nombreuses critiques et vérifiez leurs photos de profil et leurs sites web. Posez-vous les questions suivantes :

  • Ont-ils réalisé des travaux similaires aux vôtres ?
  • Sont-elles spécialisées dans un type particulier, comme l’enduit à la chaux, le crépi ou les corniches ?
  • Depuis combien de temps l’entreprise de plâtrerie est-elle en activité ?
  • Étant donné que la plupart des travaux impliquent que l’entreprise se rende chez vous pendant plus d’une journée, vérifiez les commentaires pour voir si l’approche est amicale et professionnelle.
  • Les clients précédents ont-ils mentionné que les meubles et les revêtements de sol étaient couverts pendant les travaux ? Étaient-ils à l’aise avec la présence des plâtriers dans la maison ?

Si vous avez besoin d’un plâtrier ou un Plaquiste Toulouse, consultez le site lpc-plaquistes.fr. Les Plaquistes compagnons propose des plâtriers accrédités travaillant dans votre région.

Engager et payer un plâtrier

Avant le début des travaux, vous devez être au clair sur le travail qui sera effectué, le coût de chaque partie du travail, le délai d’exécution probable et les modalités de paiement.

Vous pouvez raisonnablement demander à voir les documents d’assurance du plâtrier et ne devez pas avoir peur de demander des précisions sur ce qui se passera si le travail n’est pas effectué de manière satisfaisante ou s’il prend plus de temps que prévu.

Les bons plâtriers ne rechigneront pas à discuter de ce qui se passe si les choses tournent mal et devraient être en mesure de présenter les conditions générales qui s’appliqueraient dans ces cas-là.

L’ampleur et la nature du travail détermineront si vous devez verser un acompte. Ne payez jamais plus de 25 % du coût total à l’avance et assurez-vous que la dernière tranche est payable à l’acceptation du travail.