Les statistiques mondiales relatives à la calvitie sont assez inquiétantes et révèlent un problème majeur. En effet, ce mal d’origine infectieuse ou héréditaire touche la moitié des hommes, avec d’importantes conséquences comme l’accroissement du stress quotidien ou encore un déséquilibre psychosocial et une détérioration des relations interpersonnelles.

Cependant, avec l’évolution de la technologie, la calvitie est tout à fait surmontable si l’on s’y prend de la meilleure des manières.

Pourquoi faut-il chercher à surmonter la calvitie ?

Avoir une chevelure dégarnie peut rapidement porter un coup à notre apparence physique et à notre moral, voire affecter nos relations avec les autres. Cela se traduit par une augmentation du stress, un sentiment de détresse, une perte de confiance en soi, et parfois la dépression. Tous ces états d’âme peuvent avoir de graves répercussions aussi bien sur le plan personnel que sur le plan professionnel.

Lorsque l’on est confronté à la calvitie, doit-on alors se résigner à subir sa nouvelle condition physique avec toutes les conséquences qui l’accompagnent, ou chercher des solutions efficaces et durables pour en venir à bout ? S’il est évident que l’idée d’un traitement est plus idoine, il faudra s’armer de courage et d’abnégation, tant les chemins pour surmonter la calvitie sont périlleux.

Seulement deux médicaments avec des effets prouvés…

Même si une bonne hygiène capillaire, une alimentation adaptée, et le recours à quelques substances naturelles comme l’huile d’argan sont des idées intéressantes pour prévenir la calvitie et empêcher son évolution, l’industrie pharmaceutique ne reconnaît à ce jour que deux molécules pour lutter contre les pertes de cheveux.

La première est le minoxidil, une molécule initialement conçue pour lutter contre l’hypertension artérielle. Après quelques années de commercialisation en tant que traitement de l’hypertension, le minoxidil a révélé un effet secondaire aussi surprenant que bénéfique. Cette molécule favorise la dilatation des vaisseaux sanguins et par la même occasion, la circulation du sang dans l’organisme, y compris vers les racines des cheveux. Ces dernières étant ainsi mieux pourvues en nutriments, il s’ensuit une meilleure repousse et une bonne croissance des cheveux. C’est fort de ce constat que le minoxidil fut admis quelques années plus tard pour traiter les chutes de cheveux.

La seconde molécule aux effets prouvés contre la calvitie est le finastéride. Plus connue sous ses noms commerciaux (Propecia et Proscar), le finastéride agit comme un inhibiteur de 5-alpha réductase dans notre organisme. Cette enzyme contrôle en effet la transformation de la testostérone en DHT dans l’organisme. Résultat, le taux de DHT est réduit et les cheveux peuvent pousser et croître plus facilement.

Qu’il s’agisse du minoxidil ou du finastéride, ces molécules exposent l’organisme du patient à des effets négatifs non négligeables pouvant conduire à de graves conséquences aussi bien physiques que psychologiques.

Zoom sur quelques effets négatifs : dépression, dysfonctionnement érectile, dérèglement hormonal…

La manifestation des effets négatifs tant du minoxidil que du finastéride est en grande partie tributaire de la réaction de l’organisme du patient. Dérèglement hormonal, dysfonctionnement érectile ou encore dépression sont autant de maux collatéraux que peuvent entraîner ces traitements médicamenteux contre la perte de cheveux.

De plus, lorsque le traitement est arrêté, la chute des cheveux reprend son évolution. Le patient est donc contraint de suivre ce traitement pour le restant de ses jours, avec toutes les incidences (financières, psychologiques, physiques) que cela induit.

Pour lutter efficacement et durablement contre la calvitie, la solution à préconiser est alors la greffe de cheveux. Cette opération est aujourd’hui assez simple à réaliser grâce notamment aux avancées technologiques, mais surtout si elle est l’œuvre d’un chirurgien spécialisé et expérimenté.

Lutter efficacement et durablement contre la calvitie grâce à la greffe de cheveux

La greffe de cheveux est une transplantation de quelques poils de cheveux de l’arrière du crâne vers les zones dégarnies afin de contrer la calvitie avant de la voir disparaître totalement. Le choix de la couronne hippocratique comme zone donneuse dans le cadre des implants capillaires n’est pas anodin. Il s’explique par le fait que les cheveux de cette zone sont naturellement plus résistants et moins vulnérables à la manifestation de la calvitie.

Telle que présentée, la greffe de cheveux est une opération assez simple et banale. Toutefois, il s’agit d’une intervention nécessitant savoir-faire, expérience, et dextérité, car il faut transplanter les racines des cheveux l’une après l’autre avec la plus grande minutie pour un rendu à la fois naturel et esthétique. Les méthodes DHI et FUT sont depuis quelques années reconnues comme assez performantes pour atteindre ces résultats.

Le principal inconvénient d’une greffe de cheveux reste son coût assez élevé dans certains pays comme la France où la facture moyenne d’une greffe de cheveux est estimée entre 6.000 euros et 15.000 euros selon la clinique et l’expérience du chirurgien.

Pour contourner cette difficulté, de plus en plus de patients privilégient la Turquie pour leurs implants capillaires. En effet, une greffe de cheveux dans la meilleure clinique premium de Turquie coûte entre 2 000 et 4 000 euros. Cliniques exclusivement dédiées aux implants capillaires, personnels hautement qualifiés et expérimentés, matériels de dernière génération permettant de proposer les meilleures méthodes de greffe de cheveux, voilà autant de facteurs qui font de la Turquie une référence mondiale en la matière.

Pour faire un parallèle avec l’Hexagone, la plupart des cliniques offrant des interventions capillaires sont bien trop générales, ce qui ne permet pas toujours d’avoir la meilleure qualité et des résultats irréprochables. Les quelques rares cliniques uniquement dédiées à la greffe de cheveux offrent leurs services à des coûts beaucoup trop élevés, accessibles seulement à la minorité des plus aisés.